TFGA n°10 – Les méchants qu’on aime détester

Bonjour à tous,

Cela faisait longtemps que je n’avais pas contribué sur un TFGA d’Alex, mais le thème de ce mois-ci m’a donné envie de me creuser un peu les méninges et d’y participer.

TFGA : n.m., abréviation de « Top Five Game Addict ». Concept proposé par Alexandre de Alex-Effect, invitant les blogueurs de la communauté jeux vidéo à réaliser un top 5 sur un thème précis, renouvelé chaque mois.
– Sources : Dictionnaires Labrune et Le Petit Roger

Voilà, maintenant que les présentations sont (re)faites, intéressons-nous d’un peu plus près au thème de ce mois-ci. J’ai lu chez beaucoup de confrères que pour une fois, le sujet était plus facile à traiter – il est vrai que parfois Alex nous propose des thèmes assez complexes, voire à la limite de la torture mentale pour certains, et je suis sûre qu’il y prend un malin plaisir – mais comme à chaque fois, il faut que je me retourne un peu le cerveau pour trouver un top 5.

Pour « Les méchants qu’on aime détester », j’ai commencé par réfléchir à des boss qui m’ont marquée dans mon expérience de joueuse de jeu vidéo. Ô stupeur et tremblements, mon esprit est allé divaguer du côté des Zelda, ma licence favorite. Ma petite voix intérieure est alors intervenue assez rapidement en me faisant gentiment comprendre : « tu nous casses les bonbons à toujours parler de ça », donc j’ai décidé de faire un effort, et de chercher plus loin. Je me suis concentrée sur ce sentiment de satisfaction machiavélique, cette exultation frénétique que l’on ressent face à un ennemi que l’on écrase avec un plaisir sadique évident. Et là…

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Le joueur adverse dans Splatoon

Celui-là même qui vous attendait à l’atterrissage, parce que votre position est signalée et que le temps que vous traversiez la carte, il s’était lâchement planqué en embuscade dans la peinture, vous dégommant avant même que vous n’ayez le temps de dire « Fils de Poulpe ! ».*
Ou celui qui s’était confortablement installé en hauteur et avait décidé, plutôt que d’aider son équipe à encrer le terrain, de liquider tous ceux qui passaient à portée. (Oui, le joueur est doté d’une incroyable mauvaise foi, ce qui en fait un mauvais perdant revanchard).

Ceux-là, quand je les recroise, je me fais un plaisir de les éliminer en retour. Comme on dit, ventouse pour ventouse, tentacule pour tentacule. Je crois.

*Je n’ai rien contre les poulpes, ils sont sûrement sympas.

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