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    Mon avis sur Zelda Skyward Sword HD Switch

    Cet été, la Nintendo Switch a accueilli au catalogue un nouveau remake de la licence The Legend of Zelda. Il s’agit de l’opus Skyward Sword, initialement sorti sur Nintendo Wii. En tant que fan de la licence je me suis évidemment replongée dans l’aventure sans me poser de questions. Je n’avais qu’un vague souvenir des péripéties du héros. En revanche, l’expérience de jeu était marquée au fer rouge dans ma mémoire. J’avais hâte de la confronter avec une nouvelle plateforme à ma disposition.

    Entre prémices et renouveau

    Longtemps fantasmée par les fans de la licence, la chronologie qui lie entre eux les différents opus est officialisée par la sortie de Skyward Sword. Le jeu entend se poser comme le précurseur des itérations du Héros, de la Princesse et du Malin. Pour autant, pas question de se contenter de reprendre une énième fois la recette qui fonctionne pourtant toujours aussi bien. Avec ce Zelda Skyward Sword, il fallait profiter à fond du motion gaming offert par la Wii et inventer une expérience de jeu originale. C’est dans ce contexte que la Légende s’écrit une nouvelle fois.

    Et je tourne en rond…

    … mais tout droit ! Oui, il faut saluer cette performance inédite qu’a réussie ce Zelda Skyward Sword. Nous faire tourner en rond dans le couloir du scénario. En effet, le jeu ne nous ouvre les porte que de trois grands territoires : la Forêt de Fironne, le Volcan d’Ordinn et le Désert de Lanelle. En comptant Célesbourg et ses environs, cela ne fait jamais que quatre zones à explorer. Et le scénario nous guidera dans les trois contrées terrestres, trois fois, dans le même ordre. En terme de monotonie et de répétitivité, ça se pose là.

    Pour autant, je me suis surprise à effectuer une bonne soixantaine d’heures de jeu pour parcourir le titre de bout en bout. En comptant la chasse aux quarts de cœurs, cristaux de gratitude et autres quêtes annexes bien entendu. (Joueuse complétiste, je ne me refais pas). En fait le jeu pourrait sembler court quand on s’aperçoit que ses zones bien cloisonnées sont peu nombreuses. Mais les multiples allers-retours contribuent grandement à prolonger l’expérience.

    Comme je l’ai dit en début d’article, je ne me souvenais que peu du scénario en relançant le jeu. Je me rappelais vaguement d’une fuite en avant dans un monde assez restreint, pas beaucoup plus. Finalement, en redécouvrant l’histoire, je l’ai plutôt bien aimée. Pour une fois, Zelda se montre un peu plus présente que ce à quoi on nous a habitués. Et surtout plus débrouillarde, plus active. Elle a même quelques coups d’avance sur le héros ! Et d’ailleurs, les opus de la licence ont rarement été aussi scénarisés que dans ce Skyward Sword, ce qui n’était pas pour me déplaire.

    De la manette à l’épée

    Comme je le disais plus tôt, Zelda Skyward Sword s’était fixé pour objectif d’exploiter le motion gaming dans son gameplay. C’est ainsi qu’est né le contrôle de l’épée de Link par mouvements du joueur. Et honnêtement, l’idée est vraiment originale ! Les premiers entraînements à l’école de Chevalerie sont prometteurs. Un mouvement horizontal, et je viens de trancher dans le même sens ce tronc d’arbre qui me regardait de travers ! Et ça marche aussi à la verticale, à la diagonale, en coup d’estoc… Et même en parade du bouclier avec l’autre main.

    Mais tout s’écroule lorsqu’on tente d’appliquer ces grands principes sur le champ de bataille. Le jeu nous prend pourtant gentiment par la main : les ennemis affichent clairement des positions et des failles correspondant aux mouvements d’arme appris plus tôt ; on nous laisse le temps de prendre le recul nécessaire pour analyser la situation de combat. Malheureusement, ce n’est que laborieusement qu’on arrive à pratiquer ce qui est attendu. Bizarrement dans le feu de l’action, les passes d’armes ne sont plus aussi faciles à exécuter ; l’épée s’oriente parfois à l’exact opposé de notre bras ; l’épée refuse de charger l’éclat céleste ; il faut sans cesse recalibrer la manette au centre de l’écran…

    De manière tout à fait logique, Skyward Sword exploite à fond le motion gaming pour enrichir le gameplay. C’est évidemment une bonne chose et cela participe à la touche d’originalité qui caractérise le jeu dans son ensemble. Le fouet par exemple, s’utilise avec une secousse tout à fait naturelle du poignet. On vise à l’arc ou au lance-pierre en pointant sur son écran. On contrôle la trajectoire du scarabée par de prudents mouvements de la manette… Le revers de la médaille est qu’on rencontre donc autant de nouvelles situations sources de frustration.

    Skyward Sword HD sur Nintendo Switch

    Autant de sources de frustration qui m’avaient valu de belle crises de nerf à l’époque ! Ces souvenirs vivaces et amers sont les premiers qui me sont revenus à l’évocation de mes heures de jeu passées sur Zelda Skyward Sword. Mais j’attendais énormément de la version HD proposée sur Switch. Les Joy-Cons, censés être des bijoux de technologie concentrée dans le creux de la main, corrigeraient à coup sûr les défauts de leur ancêtre Wiimote. D’autant qu’en plus on nous propose justement un paire de Joy-Con édition spéciale pour l’occasion !

    Joy-Con Nintendo Switch Skyward Sword

    Quelle déception. J’avoue n’avoir fait aucune comparaison rigoureusement scientifique entre les deux versions du jeu, mais je m’attendais à tellement mieux de la Nintendo Switch sur ce point là ! Eh non, j’ai crisé, tout comme à l’époque, sur les mêmes déboires. Pire, les Joy-Cons sont vraiment loin d’être ergonomiques pour des cessions de jeu de ce type ! Ils sont petits, anguleux, difficiles à bien caler dans le creux de la main.

    Alors oui, Skyward Sword HD est quand même plus beau sur Nintendo Switch. C’est surtout évident si on compare côte à côte les deux versions. Mais visuellement, le jeu reste assez moyen pour de la Switch. Ce défaut malheureusement, est surtout dû au parti pris de la direction artistique du jeu. L’aspect aquarelle et cel-shading mélangé ne donne pas un très bon rendu à l’écran. C’était malheureusement déjà le cas à l’époque sur Wii.

    Zelda Skyward Sword

    Conclusion

    Ah, ce Zelda Skyward Sword est complexe. Innovant et original pour sa licence, il est délicat à prendre en main. Malheureusement sa sortie HD sur Switch n’aura pas gommé ses principaux défauts. Pour autant j’ai apprécié me replonger dans son aventure. Ce que je n’aurais probablement pas fait sans une réédition sur la nouvelle génération Nintendo.

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