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    Calendrier de l’Avent 2015

    Bonjour à tous !

    Noël approche à grands pas et la tradition veut que dès le premier décembre, on ouvre un case par jour sur son Calendrier de l’Avent pour patienter jusqu’à Noël. Cette année j’ai eu envie d’insuffler un peu de la magie des fêtes sur mon blog, et de vous proposer un petit Calendrier de l’Avent maison. J’espère qu’il vous plaira !

    Le principe est très simple, derrière chaque case se cache un contenu qui sera révélé quotidiennement. Il y aura des articles, des bons plans, et des petits goodies et lots sympa à gagner ! N’oubliez pas de revenir chaque jour 😉

    5 indices qui trahissent ma fanattitude Zelda au quotidien

    Bonjour à tous !

    Aujourd’hui j’ai eu envie de partager avec vous ces petits indices qui trahissent au quotidien la fan de Zelda que je suis. Parce que quand on est fan d’une série/licence/personne, il arrive qu’on possède des goodies à son effigie, et on les utilise dans la vie de tous les jours parce que ça nous fait plaisir. Ces objets peuvent devenir tellement banals à nos yeux à force de les voir quotidiennement qu’on en oublie le signal qu’ils envoient aux personnes qui les remarque : « Oui, je suis fan de Zelda ».

    Du coup, voici le top 5 de ces goodies qui me suivent chaque jour sans que je n’y fasse plus trop attention, mais qui prouvent que je porte cette licence dans mon cœur.

    1. Les sonneries de portable Zelda

    Je me suis carrément constitué un thème sonore pour mon portable, sur le thème de Zelda bien entendu. J’ai donc défini le thème d’Hyrule comme sonnerie, le son correspondant à la découverte d’un secret pour mes messages et celui associé à l’obtention d’un nouvel objet pour mes notifications. Le tout venant de la version NES, bien évidemment ! Les voici d’ailleurs ci-dessous, si vous êtes curieux ou si vous voulez vous les procurer 😉

    2. Les boucles d’oreille Triforce

    Alors ces boucles d’oreille, je les ai eues dans le cadre du Swap Effect. Cela faisait partie des petits cadeaux qu’Alex m’a offerts et j’en suis très contente! 🙂 Je les mets pratiquement tous les jours, sauf quand je porte autre chose à l’effigie de Zelda, parce que je n’aime pas en faire trop.

    Boucles d'oreille Triforce Fille Geek

    3. Le collier Bouclier Hylien

    Mes copains geeks du net ne sont pas les seuls à connaître mon penchant pour cette licence, ma famille également. Preuve en est avec ce collier que mon petit frère m’a offert pour Noël. J’évite en général de le mettre avec les boucles d’oreille, c’est soit l’un, soit l’autre 😉

    Collier Bouclier Hylien Fille Geek

    4. Les tee-shirts Zelda

    Je vous l’accorde, c’est peut-être le signe le plus voyant de tous, quand je mets un tee-shirt Zelda j’affiche clairement ma fanattitude ! Le « Hyrule University 1986 » et le bouclier entièrement blanc sont tous deux des souvenirs de Paris Games Week, tandis que le troisième, avec les deux Master Swords, est également un cadeau provenant du Swap Effect. Et comme dit précédemment, je ne mets pas de bijou Zelda avec pour ne pas en faire trop.

    Tee-shirts Zelda Fille Geek

    5. Le porte-clé Symbole d’Hyrule

    Qui n’accroche pas de porte-clé à ses clés ? Ça permet à la fois d’afficher sa personnalité mais aussi de décorer un peu cet objet banal qu’on est obligés de se trimbaler partout. Ça commence à faire un bout de temps que j’y ai accroché mon porte-clé Zelda, du coup je n’y fais plus spécialement attention, mais je le trouve toujours aussi beau !

    porte-clés Zelda Fille Geek

    Bonus : Le porte-feuille Nintendo

    Il n’est pas à  l’effigie de la licence Zelda, c’est pour ça que c’est plutôt un bonus. Mais il affiche quand même clairement mes passions au quotidien, et ce à chaque fois que je mets la main au porte-monnaie 😛

    porte-monnaie nintendo Fille Geek

    Et vous, quels sont les goodies qui trahissent votre fanattitude ? 🙂

    Le profil de Linkle, la nouvelle venue de Hyrule Warriors Legends

    Bonjour à tous !

    Aujourd’hui je vous retrouve pour vous parler un peu de Zelda, ça faisait longtemps 🙂 La licence fait grandement parler d’elle depuis le Nintendo Direct, notamment avec ses interrogations sur le prochain Zelda, mais aussi avec l’annonce fracassante de ce nouveau personnage : Linkle.

    En effet, les spéculations quant au sexe de Link vont bon train depuis des années, et certains le soupçonnent d’être en réalité une fille travestie. Notamment, depuis les images du héros dans le Zelda à paraître, diffusées à l’E3, ce sentiment a été renforcé chez beaucoup de monde. Aussi, l’annonce de Linkle, ce personnage clairement féminin, pourrait être pris comme une confirmation de la part de Nintendo que Link est bien masculin, puisqu’on nous présente son homologue de sexe opposé. Tout cela reste dans le domaine hypothétique bien entendu, je ne fais là que fantasmer un peu avec le peu qu’on nous donne.

    Link zelda Wii U Fille Geek

    Pourtant, le site officiel pour Hyrule Warriors: Legends a publié de plus amples informations sur Linkle, notamment son profil et quelques images tirées de cinématiques racontant son histoire. C’est le site Zelda Informer qui relaie l’information en anglais. Voici donc les éléments concernant Linkle :

    Linkle est une jeune fille joyeuse qui a grandi dans un petit village rempli de poules, et elle a toujours eu tendance à vouloir aider les personnes dans le besoin. Sa mystérieuse boussole est une héritage familial, qui lui a été transmis par sa grand-mère. Lorsqu’elle apprend que Hyrule est en danger, elle part en voyage pour sauver le royaume. Sur le chemin, elle rencontre Skull Kid, qui lui vole sa boussole. Elle fait également la rencontre de Midona sous sa véritable forme.

    Galerie d’images :

    Test Typoman Wii U

    Les mots sont investis d’un grand pouvoir. Ils peuvent être maniés comme des armes et changer le monde, ils peuvent blesser, réconforter. On peut les manipuler pour créer des jeux de mots subtils ou les réunir en phrases poétiques juste pour le plaisir de les lire. C’est en tout cas ce que nous rappelle et nous démondre le jeu Typoman, développé par Brainseed Factory et édité par Headup Games, disponible sur Wii U dès le 19 novembre 2015.

    Dans Typoman, vous voilà donc aux commande d’un minuscule héros qui évolue dans un monde sombre et abstrait, peuplé de menaces terrifiantes, les mêmes que celles qui se terrent dans les placards entre-ouverts, qui vous guettent tapies dans l’obscurité sous le lit, ou qui attendent dans un recoin sombre de pouvoir vous attraper. Pourtant, vous avez un don très puissant pour vous frayer un chemin dans cet univers sinistre : vous pouvez former des mots à partir des lettres qui constituent votre environnement.

    Typoman Fille Geek

    Quatre lettres composent le personnage dont vous avez le contrôle : HERO. Pourtant, il n’a pas de super-pouvoir comme celui de voler ou de manipuler des énergies magiques. Il n’est pas non plus équipé d’épée, de hache ou d’arc. Il peut simplement se déplacer, et sauter sur une hauteur raisonnable pour atteindre des marches ou des plateformes. Mais surtout, dans ce décor jonché de lettres, il peut les pousser ou les tirer, voire les porter et les lancer. Cette mécanique sera au cœur de la résolution d’énigmes, principale composante du jeu. « ON » pour allumer un mécanisme, « STOP » pour en arrêter un autre… Ces actions vous permettront d’accéder à d’autres lettres, former d’autres mots, agir sur votre environnement et progresser. Certains mots seront même de puissantes défenses face à vos ennemis. Pour vous aider dans la réflexion, des indices apparaissent sur le gamepad, sous forme de phrases parfois poétiques, contenant les mots-clés que vous cherchez. Le gamepad servira également à résoudre les anagrammes facilement en déplaçant les lettres du mot sur lequel vous travaillez.

    Typoman Fille Geek

    Mélange équilibré entre énigme, plateformes et « Die and Retry », Typoman vous demandera donc autant de doigté que de réflexion. Entre deux mystères résolus, vous aurez parfois à vous précipiter au-dessus de dangereux ravins, échapper à un ennemi qui s’est lancé à vos trousses, vous sortir d’une zone dangereusement infectée… Dans ces phases d’aventure, vous vous rendrez vite compte que tout est millimétré et que vous ne pourrez pas vraiment compter sur la chance pour vous en sortir, mais sur une bonne gestion du personnage, sinon d’une très bonne connaissance du niveau et des dangers qui vous attendent. En cela, le « Die and Retry » prend tout son sens, mais il est utilisé intelligemment : le jeu se sauvegarde automatiquement tout au long de votre progression, de sorte que lorsque vous mourrez, vous recommencez juste avant la séquence que vous essayez de passer, sans avoir à recommencer du début du chapitre, ou à reprendre tout ce que vous avez accompli depuis 10 minutes. La frustration est ainsi parfaitement gérée et vous accepterez plus facilement de mourir et recommencer une paire de fois le même passage. Cela encourage même l’expérimentation pour sonder les environs, puisqu’il ne coûte pas grand chose de sacrifier son personnage pour vérifier le fond d’un précipice par exemple.

    Outre la qualité des énigmes et des jeux de mots utilisés dans les mécaniques de jeu, le soin et le sens du détail n’est pas en reste pour l’environnement. Les lettres forment également le décor, comme « PLATFORM » qui sont justement ce qu’elles désignent. Il y a de nombreux clins d’œil à trouver autour de soi, tels que ce pont composé des lettres « ROBUST », mais qui voit son « O » et son « B » s’effondrer, ne laissant plus que « RUST » (rouillé), ce qui explique sa solidité toute relative. Les graphismes du jeu, simples mais de très bonne qualité, participent à créer cette ambiance pesante et sinistre dans laquelle le jeu s’installe, avec des couleurs sombres et sépia pour la renforcer, et quelques touches de couleurs pour incarner la lumière et l’espoir vers lesquels vous vous dirigez.

    Typoman Fille Geek

    Malgré ses très nombreuses qualités, Typoman a malheureusement deux défauts qui pourront le desservir. Le premier est que malheureusement le jeu est en anglais. Les menus, les actions, les explications sont bien en français, mais le contenu, c’est à dire les énigmes, les mots à utiliser et trouver, sont restés dans la langue de Shakespeare. C’est assez dommage pour jeu qui repose justement sur le maniement des mots ! Pour y jouer, il faudra donc une bonne compréhension de l’anglais, aussi bien du vocabulaire que des subtilités de la langue. Le second défaut est que le jeu est composé d’uniquement 3 chapitres, ce qui fait que la durée de vie sera très courte (comptez environ 6 heures pour le finir). J’aime à dire que le défaut « trop court » d’un jeu révèle par ailleurs sa qualité globale, qui fait qu’on aimerait y jouer plus longtemps, et c’est le cas ici. Si dans les faits il se finit bel et bien trop vite, on aimerait réellement pouvoir y jouer encore au moins autant, voire plus. A côté de cela, peu de choses à déplorer au jeu, mis à part les défauts techniques habituels comme la présence de quelques temps de chargement un peu longs (mais peu nombreux) et des chutes de framerate lors des changements de séquence.

    Verdict

    Malgré une très courte durée de vie et une localisation française absente, Typoman fait partie de ces perles de jeux indés que l’on aime découvrir, et qui ne sont vraiment pas assez nombreuses sur la Wii U. Un héros haut comme trois lettre est capable de vaincre le marasme en maniant les mots, et ça c’est un beau message par les temps qui courent. Le gameplay bien pensé sait doser équitablement énigmes, jeu de plateforme et Die and Retry tout en utilisant (à petite dose) les fonctionnalités du gamepad dans ses mécaniques. Le soin apporté aux détails et l’intelligence des jeux de mots finissent la réussite du jeu et nous font oublier les défauts mineurs tels que les chutes de framerate occasionnelles et un ou deux temps de chargement un peu longs. A découvrir de toute urgence si vous maîtrisez la langue de Shakespeare !

    Débat Nintendo Direct : le prochain Zelda sortira-t-il sur Wii U ?

    Bonjour à tous,

    Comme vous le savez sûrement, Nintendo a diffusé la semaine dernière un Nintendo Direct, le premier depuis le décès de Satoru Iwata. L’émission a donc été principalement présentée par Satoru Shibata, ce qui a été l’occasion pour Nintendo de montrer à ses fans que la vie continue et que la société a encore de nombreuses choses à leur apporter.

    Bien entendu, ce genre d’événement est souvent le théâtre de discussions passionnées sur les réseaux sociaux, et j’ai lu de nombreuses réflexions, participé à quelques discussions qui m’ont donné à réfléchir. La question sur laquelle je souhaitais me pencher est la suivante :

    Le prochain Zelda sortira-t-il sur Wii U ?

    C’est l’une des principales questions que j’ai vue chez beaucoup de monde. Je ne peux nier que je me la suis posée également, et j’ai également participé à quelques débats avec différentes personnes concernant ce sujet. Certaines assez pessimistes, d’autres au contraire résolument optimistes.

    Peut-on croire aux promesses de Nintendo ?

    Cela faisait tout juste quelques secondes que le Nintendo Direct était terminé que je me précipitais sur le site de Nintendo pour vérifier une information sur le replay. A-t-on précisé la console de sortie pour le prochain Zelda, ou nous a-t-on laissé dans le vague afin de ne pas faire de promesse qu’on ne pourra pas tenir ensuite ? Je respire, effectivement la vidéo dit Hyrule Zelda U Fille Geekbien que le prochain Zelda sortira sur Wii U. Comme certains l’ont soulevé cependant, ce n’est pas parce qu’on nous annonce quelque chose que cela nous le garantit. Et pour preuve, on me rappelle The Last Guardian qui était censé sortir sur PS3. C’est vrai, dans le monde du jeu vidéo les déceptions sont nombreuses, les sorties de jeux maintes fois repoussées et les souhaits des joueurs pas toujours réalisés.

    J’ai toutefois le sentiment que la communication de Nintendo est unique et ne peut être comparée à celle de ses confrères. Alors que Sony et Microsoft nous annoncent beaucoup de nouveautés sur un agenda s’étendant sur plus ou moins 2 ans, qui de fait est forcément soumis à de nombreux aléas, Nintendo s’aventure rarement plus loin que dans les 6 mois à venir. Il est alors très rare qu’on nous annonce quoi que ce soit qui ne soit pas sûr et certain, ce qui est un bon moyen de tenir quasiment toutes ses promesses.

    Un nouveau Zelda par console ?

    Midona et Link Fille GeekEn parlant de promesses, il y a celle – tacite je vous l’accorde – qui assure le joueur d’un nouveau Zelda exclusif sur chaque console Nintendo. Et j’entends par là que jusqu’à présent aucune console Nintendo n’a proposé que des portages ou remasters de titres précédemment sortis. De toute façon cette réflexion excluait toutes ces rééditions, pour faire bel et bien référence à un titre qui, au moment de sa sortie, est inédit. Je le précise car là aussi j’ai eu comme contre-argument qu’on ne pouvait plus considérer un titre de Zelda comme exclusif à sa console à partir du moment où, des années plus tard, celui-ci est proposé sur une console de génération différente. Cette réflexion peut faire sens si on regarde a posteriori le catalogue de jeux, mais on ne peut affirmer d’un jeu inédit qui vient de sortir que ce n’est pas une exclu. Non seulement parce qu’on ne sait pas si dans le futur il sera réédité, mais même, au moment où il sort, il faut bien admettre que puisqu’il n’est édité nulle part ailleurs, c’est bien une exclu (c’est comme juger coupable un type qui n’a pas encore commis de méfait, à la Minority Report).

    Ainsi, si on regarde la série principale de The Legend of Zelda, on voit bien que chaque console a vu sortir un titre au moins, parfois plus. En revanche, doit-on considérer les jeux qui sont classés comme des « spin-offs » dans cette réflexion ? Si oui, peut-on estimer que la Wii U a déjà son titre exclusif avec Hyrule Warriors ? Si tel était le cas il va sans dire que ce serait extrêmement décevant pour les fans, même si Hyrule Warriors est un bon jeu en soi.

    NES Super NES Nintendo 64 GameCube Wii Wii U
    Legend of Zelda
    Adventure of Link
    A Link to the Past Ocarina of Time
    Majora’s Mask
    The Wind Waker
    Four Swords Adventures
    Twilight Princess
    Twilight Princess
    Skyward Sword
    (Link’s crossbow training)
    (Hyrule Warriors)

    .

    Game Boy Game Boy Color Game Boy Advance Nintendo DS Nintendo 3DS
    Link’s Awakening Oracle of Ages
    Oracle of Season
    Four Swords
    The Minish Cap
    Phantom Hourglass
    Spirit Tracks
    A Link Between Worlds
    Triforce Heroes
    (Hyrule Warriors Legends)

    .

    Les 30 ans de The Legend of Zelda

    Autre question que l’on est en droit de se poser : et si le nouveau Zelda sortait à la fois sur Wii U mais aussi (et surtout) sur la nouvelle console Nintendo, comme ce fut le cas pour Twilight Princess ? C’est également un choix qui serait très décevant pour les fans. J’espère sincèrement que Nintendo ne prendra pas à nouveau ce chemin. Il ne faut pas oublier que 2016 sera l’année des 30 ans de la licence The Legend of Zelda, une année à célébrer. On peut espérer que ce sera le cas, vu les belles surprises auxquelles on a eu droit pour le 25ème anniversaire.

    Pour rappel, on avait eu un nouveau jeu sur Wii : Skyward Sword, ainsi que le remaster 3D d’Ocarina of Time sur Nintendo 3DS, et l’ajout de Link’s Awakening DX sur l’E-shop. Côté collector, le pack Skyward Sword (contenant en plus du jeu la wiimote dorée et le CD Zelda Symphony), ainsi que la Nintendo 3DS 25ème anniversaire. Et bien sur, une tournée mondiale du concert The legend of Zelda : Symphony of the Goddesses.

    3DS collector Zelda Ocarina of Time

    On sait donc que 2016 nous proposera une remake HD, et un tout nouveau titre qui sortira, je l’espère, sur Wii U mais également une édition collector du jeu Hyrule Warriors: Legends. A mon avis, d’autres surprises nous attendent encore.

    Collector Hyrule Warriors Legends Fille Geek

    L’avenir de la Wii U

    Quant à savoir si ce nouveau Zelda sortira plutôt sur Wii U ou sur la prochaine console de Nintendo, il y a tout de même le mystère qui entoure la fameuse NX qui pose problème. Comme l’ont très justement souligné certains, on ne sait pas encore ce que sera cette « console », ni même si console ce sera. En attendant, je ne trouve pas que la Wii U soit abandonnée par Nintendo. Des jeux sont toujours développés sur cette plateforme, et l’on attend encore StarFox Zero, Xenoblade Chronicle X, Pokken Tournament, ainsi que des jeux indés, et Splatoon en reste un fer de lance avec ses nombreuses mises à jours gratuites et régulières.

    Conclusion…

    Ce long article n’apporte évidemment pas de réponse ferme à la question, car personne ne peut vraiment savoir à l’avance ce que nous réserve Nintendo concernant ce nouveau titre The Legend of Zelda. Mon avis personnel sur la question se confond peut-être avec ce que j’ai envie de croire, mais j’ai tendance à dire que le jeu sortira bel et bien sur la Wii U. Je le répète, ce n’est qu’une conviction personnelle. J’espère également que Nintendo saura faire de 2016 une aussi belle année pour la licence que ce le fut en 2011.

    Revoir le Nintendo Direct :

    Test Zelda Triforce Heroes 3DS

    Il est temps pour vous, une fois de plus, de revêtir votre plus beau costume vert (ou bleu, ou rouge) pour partir à l’aventure dans Zelda Triforce Heroes. Disponible depuis le 22 octobre sur Nintendo (new) 3DS, ce nouvel opus « Hors série » vous embarque dans un royaume où vous devrez vous poser en défenseur de la mode et de l’élégance…

    Vous avez bien lu, la quête du jeune héros le conduit au Royaume d’Estoffe, où la Princesse Mousseline est victime d’un sortilège la condamnant à porter une combinaison ridicule. Le bon Roi Frisette vous demande de partir dans les Contrées Maudites afin de vaincre la sorcière à l’origine des maux de son royaume, car ses loyaux sujets ont maintenant peur de faire preuve d’élégance, sous peine de subir le même sort que leur Princesse.

    Des tenues dont tout est issu

    L’un des aspects importants de cet opus sera donc la mode, thème sur lequel il est déjà axé pour son scénario, mais également dans son gameplay. Vous découvrirez vite que le héros peut porter différentes tenues que « Madame » confectionne, car selon elle « Un héros sans soie n’est pas un héros en soi ! » Il en découle un système de « farming » et de « craft » qui vous poussera à récolter les matériaux nécessaires pour vous faire confectionner les différentes tenues disponibles dans le jeu. Celles-ci ne sont pas juste un caprice esthétique, puisqu’elles vous conféreront de sérieux avantages pour parcourir les niveaux des Contrées Maudites. A titre d’exemple, la tenue Zora sera indispensable sur les tableaux du monde de la Rivière afin de nager à contre-courant, ou bien la tenue Goron vous immunisera des flammes dans le monde du Volcan, pour ne citer qu’elles. Et bien entendu, votre âme de collectionneur ne résistera pas au fait de vouloir posséder tous les costumes sans exception 😉 

    It’s Dangerous to go alone

    Seules les équipes composées de trois héros sont autorisées à se rendre dans les Contrées Maudites. Aussi, vous avez le choix entre recruter des amis et/ou des inconnus en ligne pour coopérer, ou bien de vous lancer seul dans l’aventure, accompagné de deux pantins enchantés que vous pourrez contrôler. Dans un cas comme dans l’autre, il vous faudra exploiter à fond les nouvelles mécaniques apportées par le gameplay du jeu. Car si la coopération n’est pas une nouveauté, puisqu’elle avait déjà été mise en avant dans Four Swords, quelques innovations apportent de l’originalité au titre. En effet, Zelda Triforce Heroes offre une aventure en 3D en proposant aux joueurs de former des totems afin de prendre de la hauteur et d’agir sur différents plans. Le jeu prend alors une dimension franchement intéressante, et justifie pleinement l’utilisation de la 3D sur la console pour une immersion plus réussie.

    It’s a secret to everybody

    Zelda Triforce Heroes Fille Geek

    Les énigmes à résoudre ont toujours été l’essence même d’un bon jeu de l’univers The Legend of Zelda, et ici le fan sera comblé. Si les premiers niveaux paraissent assez évidents, certains requerront une vraie réflexion ainsi qu’une habileté à jongler entre les différents pantins (si vous jouez en solo), ou à coopérer intelligemment (si vous jouez en ligne). Les objets à votre disposition seront d’ailleurs au cœur de ces énigmes. A chaque niveau, vous êtes armé de votre épée et d’un seul autre objet (arc, bombes, boomerang…), qui pourra changer selon le tableau dans lequel vous vous trouvez. Il n’y aura pas forcément 3 fois le même, ce qui poussera le joueur à utiliser chacune des ressources à sa disposition et permettra à chaque personnage d’apporter sa pierre à l’édifice.

    The Adventure of Links


    Niveau longévité et intérêt, on peut dire que Zelda Triforce Heroes marque des points en proposant 8 mondes différents, chacun composé de 4 niveaux, eux-même découpés en 4 tableaux chacun. Les matheux auront tôt fait de calculer le total : 128 tableaux à parcourir ! En outre, une fois un monde complètement terminé, vous avez la possibilité d’arpenter à nouveau tous les niveaux de celui-ci pour accomplir des défis spéciaux. Ceux-ci, plutôt variés et nombreux, sauront intelligemment apporter de la diversité à vos heures de jeu, et seront un excellent prétexte pour vous connecter à d’autres joueurs pour les réussir. Et pour changer un peu, le mode arène vous donnera l’occasion de vous frotter à d’autres aventuriers avides d’en découdre. A vous de faire preuve d’habileté au combat !Zelda Triforce Heroes

    I am Error

    multiplayer-scene

    Evidemment, quelques faiblesses techniques transparaissent notamment concernant la 3D du jeu, tant et si bien qu’il est parfois difficile d’évaluer correctement les dimensions. Mais globalement l’idée est plutôt bonne, et le résultat assez réussi. En revanche, si le jeu tourne aussi bien sur Nintendo 3DS que sur New 3DS, j’ai quelque peu regretté que les capacités techniques de cette dernière ne soient pas plus exploitées que cela. Le c-stick est bel et bien utilisable mais sa
    fonctionnalité fait doublon avec la croix directionnelle qui gère elle aussi le déplacement de la caméra, et les gâchettes ZR et ZL ont exactement le même effet que leurs voisines. On pourra également pointer du doigt le système d’émoticônes, insuffisant pour communiquer efficacement avec les membres de son équipe, bien que très bien pensé à la base.

    Pour ce qui est de la question du on-line vs solo, amis vs inconnus, c’est plus une question de préférences personnelles qu’un véritable défaut. En effet, pour les réfractaires au multijoueur, le jeu est entièrement faisable en solo – quoique la tâche peut se révéler parfois ardue dans ce cas, notamment si vous avez décidé de relever les défis chronométrés ; les pantins peuvent en effet se révéler comme un poids mort dans certaines situations. Pour ceux qui craignent de jouer avec des inconnus, il faut alors avoir deux amis pour jouer avec, pas moins. En mode téléchargement, une seule cartouche est alors nécessaire pour jouer à trois, ce qui est plutôt une bonne nouvelle, mais c’est trois ou rien. En revanche si vous n’avez qu’un seul ami et qu’il possède lui aussi la cartouche de jeu, vous pouvez vous retrouver on-line pour jouer ensemble, et recruter un inconnu pour compléter l’équipe. Un bémol cependant, concernant les preuves d’amitié qui servent à confectionner certaines tenues. Ces preuves d’amitié ne sont accordées que suite à des parties en multijoueur local ou en téléchargement avec des amis, et donc assez difficiles à amasser.

    Mais le plus gros défaut technique vient, assurément, avec la fonction on-line du jeu et de l’éternel problème imputable à Nintendo : la qualité de ses serveurs. C’est un débat sur lequel il n’est pas nécessaire de revenir, simplement il faut savoir que certaines parties en ligne seront largement ralenties (pour ne pas dire gâchées) par des problèmes de connexion, auxquels nous commençons (malheureusement) à nous habituer. Sur mes sessions de jeu, je n’ai pas été affectée systématiquement par ce problème, mais les quelques fois où j’ai eu à les subir cela m’a provoqué de belles crises de rage. Heureusement pour ma console qu’elle était collector !

    Verdict

    The Legend of Zelda : Triforce Heroes se pose clairement en « Hors série » de la licence, mais ne s’en cache pas. Avec un scénario quelque peu enfantin excluant Hyrule, la Princesse Zelda et autres éléments typiques de la série, on ne peut en douter. Cela est d’ailleurs renforcé par une composition musicale à la fois fidèle et distincte de l’univers de la série. Graphiquement dans la lignée de The Legend of Zelda : A link Between Worlds et digne héritier de The Legend of Zelda : Four Swords, le titre tire sa réussite de solides points forts : coopération, énigmes, originalité. Son gameplay addictif saura séduire les fans, qui fermeront sans doute les yeux sur les défauts par ailleurs mineurs. Le seul vrai bémol vient de la qualité et la fiabilité défaillantes des serveurs Nintendo, et du système de coopération peu flexible (du moins pas autant que son prédécesseur Four Swords).

    Les golden Blog Awards 2015 : Fin des votes

    Bonjour à tous !

    Eh oui ça y est, c’est la fin des votes pour les Golden Blog Awards 2015, et je remercie mille fois tous ceux qui m’ont soutenue pendant pratiquement un mois. Je sais que certains ont voté assidûment tous les jours, d’autres ont donné des votes de temps en temps quand ils y ont pensé, d’autres encore ont peut-être voté une seule fois, mais peu importe. L’important pour moi, c’est que tous ceux qui ont cliqué ne serait-ce qu’une fois sur le lien méritent toute ma gratitude.

    Grâce à vous, je fais partie des 10 blogs en shortlist de ma catégorie. Place maintenant au vote Jury, qui décidera si je mérite ou non de gagner le prix du meilleur blog 2015 de ma catégorie. Nous saurons tout cela le 10 novembre, lors de la cérémonie de remise des prix à l’Hôtel de Ville de la Mairie de Paris !

    GBA 6 La Fille En Geek

    Je ne pense pas remporter cet honneur, arriver jusque là représente déjà une victoire largement suffisante pour moi. Je vous remercie tous pour votre soutien !

    TFGA n°13 – C’était mieux avant !

    8

    Bonjour à tous ! 

    Je suis sûre que le TFGA mensuel d’Alex vous avait manqué, et je trouve que le thème de ce mois-ci est plutôt sympathique, vous m’en direz des nouvelles 😀 La 13ème édition nous inspire la nostalgie avec le thème « c’était mieux avant ». Remarquez l’absence de ponctuation à la fin, qui pourrait tout aussi bien se transformer en question selon notre point de vue. J’ai opté pour la formule exclamative, comme la plupart de mes confrères je pense 😉 Bonne lecture !

    « C’était mieux avant ! » Combien de fois dans notre – jeune – vie avons-nous scandé cette imprécation ? Avec cette affirmation féroce, nous nous raccrochons désespérément à notre nostalgie, redoutant tout ce qui a trait à la nouveauté. Et pourtant, ce cher Barney Stinson, grand philosophe devant l’Eternel avec ses idées progressistes affirme le contraire :

    New is always better Fille Geek

    Dans le domaine du jeu vidéo, « C’était mieux avant » se murmure très souvent parmi les joueurs nostalgiques, souvent adeptes du retrogaming. Ces joueurs ne sont pour autant pas totalement hermétiques à l’évolution des technologies, mais ces dernières finissent toujours par les décevoir sur certains points, leur faisant regretter leur bonnes vieilles consoles (jamais très loin d’ailleurs, la manette toujours à portée de main, au cas où…). Alors oui, c’était mieux avant parce que…

    On avait de la nouveauté

    Bah oui parce que quand Zelda est sorti, c’était le premier, pareil pour Mario, Final Fantasy, Castlevania, Dragon Quest, Sonic, etc. Aujourd’hui, on réclame à corps et à cris de nouveaux opus de ces licences parce qu’elles sont chères à nos cœur, et on hurle au scandale s’ils ne sont pas édités, tout comme on soupire excédés de la présence de ces énièmes séquelles qui brident l’originalité du jeu vidéo.

    cartouches NES Fille Geek

    On pouvait ranger nos jeux sur nos étagères

    Sans vouloir verser dans la caricature du joueur nostalgique un brin collectionneur, le dématérialisé représente tout de même un véritable fléau pour ce type de gameur. La satisfaction de pouvoir aligner parfaitement tous ses jeux sur ses étagères, les triant par console et par ordre alphabétique (ou par ordre de sortie, par couleur, par affinité ou je ne sais quoi d’autre) était sans égale. Cela permettait aussi d’évaluer d’un coup d’oeil l’étendue de sa collection, et de décider quel jeu devait être fini en priorité. Maintenant, il faut d’abord allumer sa console et explorer sa bibliothèque virtuelle pour trouver l’inspiration…

    étagères jeux vidéo Fille Geek

    On pouvait lancer son jeu sans installation sur la console

    Hop, la cartouche dans la machine, pouf le jeu. Point. Parce que dans la cartouche, qui prenait certes plus de place que les CD qu’on a maintenant, il y avait la place pour une mémoire interne, voire une pile de sauvegarde pour pouvoir y stocker de nouvelles données de jeu. Pas de temps de chargement, pas d’installation sur une mémoire interne ou externe. Juste le jeu.

    installation jeu Fille Geek

    On avait plus de chances de mourir avant sa console

    Avec l’évolution de la technologie vient un autre point : la fragilité des consoles, et même des jeux. Comme dit juste avant, les jeux sont désormais sur CD ou DVD, dépourvus de l’enveloppe protectrice plastique que représentait la cartouche. Et que dire des machines, qui marchent encore aujourd’hui parfaitement, tandis que j’ai déjà été le témoin de décès très violents de quelques Xbox 360…

    Xbox anneau rouge Fille Geek

    On achetait le jeu en une fois

    Je ne peux pas ne pas parler du problème que pose le DLC payant. Je sais que ce point se retrouvera chez beaucoup d’autres confrères blogueurs, mais si c’est le cas ce n’est pas non plus un hasard. C’est une véritable mascarade qui a pris gentiment sa place dans l’industrie du jeu vidéo. Il semble tout à fait normal aux yeux des développeurs de sortir un jeu tout en en gardant un bout (ou deux ou plus) pour plus tard. Alors quand il s’agit de contenu cosmétique, passe encore, mais quand on se sent obligé de sortir du fric pour explorer la totalité du contenu d’un jeu, là non. Le seul exemple actuel qui me donne l’impression qu’on ne se paye pas la tête du joueur c’est Splatoon. De nombreux contenus additionnels viennent enrichir le jeu assez régulièrement, le tout gratuitement. Si Nintendo a adopté ce modèle, c’est probablement que c’est viable, non ?

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