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    TFGA n°12 – Et si on se posait ?

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    Bonjour à tous !

    Une fois n’est pas coutume, ce mois-ci je me mets à la rédaction de mon TFGA mensuel bien avant la date butoir ! C’est dingue ça non ? Je me sens presque un peu trop en avance 😀 Bref, le thème de ce mois-ci nous propose de faire une rétrospective sur l’année écoulée. Parce que le concept des TFGA a 1 an (eh oui, puisque c’est 12ème édition, je vois que vous avez suivi, bravo 😉 ). Voici donc un classement des 5 TFGA qui m’ont le plus plu depuis le début.

    TFGA n°3 – Les jeux de votre 2014

    The last of us Fille GeekC’était le premier auquel je participais. Alex m’avait invité à y prendre part à partir de la 2ème édition, mais faute d’inspiration j’avais passé mon tour. J’ai donc pris la plume pour proposer mes jeux de l’année 2014 dans une article qui fut très peu varié malheureusement. Complètement débutante à cet exercice, je manquais clairement d’imagination ! Mais j’ai tout de même aimé faire partie de cette petite sphère de blogueurs réunis autour d’un même thème et d’une même passion.

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    TFGA n°4 – Les femmes de nos vies

    ZeldaVoilà un sujet intéressant qui nous oblige à nous pencher sur une thématique intéressante du jeu vidéo : les héroïnes. Il y a clairement matière à discuter voire débattre à ce sujet, aussi un petit tour d’horizon sur les personnages féminins des jeux vidéo, à explorer sous un angle complètement libre, était clairement le bienvenu. Si le titre ne m’avait pas collé en tête la chanson « Toutes les femmes de ta vie » des L5 (encore aujourd’hui d’ailleurs), il aurait peut-être grimpé dans le classement qui sait 😀

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    TFGA n°11 – Ces lieux où l’on irait bien en vacances

    Pokemon starter 1ère génération Fille GeekDate historique pour les TFGA, le thème ne sort pas de l’imagination d’Alex, contrairement à tous les précédents, mais a été proposé par El-Koala ! Voilà qui rend le sujet atypique 🙂 Si j’avais traité le sujet un peu moins en retard (c’est à dire un peu avant la veille de la date limite), je me serais peut-être encore sentie en vacances et du coup le sujet se serait peut-être un peu mieux prêté à mon humeur du moment. Il était néanmoins très plaisant à rédiger.

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    TFGA n°10 – Les méchants qu’on aime détester

    Lich King meme Fille GeekCe TFGA m’a vraiment plu. Je me suis beaucoup amusée à le rédiger, tout comme j’ai aimé prendre le sujet un peu à contre-pied pour tenter de me démarquer. J’ai ressenti de nombreux sentiments contradictoires en l’écrivant d’ailleurs, car à chaque ligne je craignais de faire un total hors-sujet, mais d’un autre côté je me disais YOLO tant pis, c’est moi la rédac chef de mon blog, je peux bien y écrire ce que je veux, et surtout, ce qui me plaît ! Et après tout, les TFGA sont un terrain libre d’expression, alors autant exploiter cette liberté à fond.

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    TFGA n°7 – Ces sons que nous n’oublierons jamais

    Soldats Inconnus Fille GeekCe thème a vraiment été mon préféré, et de loin ! La musique est souvent étroitement associée à des souvenirs, et écouter une chanson peut vous transporter dans un lointain passé en un instant. C’est ce que ce TFGA m’a permis de faire en l’écrivant. Du souvenir de simples sons électroniques à une orchestration complète, j’ai revécu des moments très agréables grâce à cela 🙂

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    Bonus

    Rédiger ce top 5 était assez facile quand on s’aperçoit que jusque là, je n’avais rédigé que 5 TFGA sur mon blog ! Aussi, pour aller plus loin, je vous propose en bonus les TFGA auxquels je n’ai pas participé, mais que j’aurais aimé vous proposer 🙂

    5/ Les morts les plus marquantes : Ce sujet est vraiment loin d’être facile (déjà parce qu’il promet de nombreux spoilers, ce qui a été le cas pour certains malheureusement) et ensuite parce que hélas, je n’ai pas les connaissances suffisantes pour revisiter l’histoire du jeu vidéo et retrouver 5 morts marquantes. Je me suis sentie clairement lacunaire pour ce thème, c’est pourquoi j’ai préféré ne pas y participer.

    Game Over Fille Geek

    4/ Ces moments où la manette a failli voler : Je remplacerais même « failli » par « fini par ». Parce que sur le moment, la frustration prend tellement le dessus que la raison oublie de nous dire « fais gaffe, c’est ta seule manette pour cette console » ou « Je te rappelle le prix d’une Dualshock 4 ? » ou encore « Tu sais que si t’as plus de Gamepad t’es bien emmerdée pour jouer à la Wii U ? ». Bref, je pense que ce top aurait été bien amusant 🙂

    JV frustration Fille Geek

    3/ Nos peurs inavouables : J’ai clairement manqué d’inspiration sur ce sujet là, et pourtant j’ai vu que les participants avaient eu beaucoup d’idées pour y répondre. J’aurais vraiment aimé me creuser un peu plus la cervelle et faire l’effort de participer à celui-là.

    The last of us infected Fille Geek

    2/ Si jeunes et pourtant si… : Là c’est tout le contraire. Je pense que j’aurais eu trop de choses en tête et que je n’aurais pas su canaliser toutes mes idées pour parvenir à rédiger un bon top bien comme il faut. J’ai préféré passer mon tour par facilité (bon et un peu manque de temps aussi) mais c’est une erreur que je ne répéterai plus.

    1/ Vos manettes favorites : J’aurais clairement pu m’atteler au choix difficile de choisir les manettes que je préfère, bien que le top aurait probablement été très orienté Nintendo, je le vois d’ici, avec peut-être une petite Dualshock 4 qui aurait atterri comme un cheveu dans la soupe en plein milieu.

    Manettes Jeux vidéo Fille Geek

    Link et ses compagnons d’aventure

    Source image : Dargonite

    Bonjour à tous !

    Aujourd’hui l’article que vous vous apprêtez à lire va parler d’un univers qui m’est cher et dont je suis fan : The Legend of Zelda. Certains d’entre vous commencent un peu à le savoir, j’aime énormément cette licence. C’est au fil d’une conversation avec un geek aussi passionné que moi semble-t-il (on parlait de tatouages, l’intéressé se reconnaîtra peut-être, si c’est le cas : coucou !), que la question suivante a germé dans mon esprit :

    Parmi tous les compagnons qui épaulent Link dans ses aventures, lequel est mon personnage préféré ?

    Je vous l’accorde, j’ai des questions existentielles un peu perchées, mais bon si vous préférez je vous invite à plancher sur : « les oiseaux volent-ils parce qu’ils ont des ailes ou ont-ils des ailes parce qu’ils volent ? » vous avez 4 heures. Bref, pour en revenir à la première problématique, j’ai commencé à me demander quel était le compagnon d’aventures de Link que j’avais préféré ?

    Les compagnons au fil des opus

    Déjà, quels sont les compagnons de Link au fil des titres The Legend of Zelda ? Dans certains opus il est accompagné de fées, chapeaux, embarcations et autres présences humanoïdes, dans d’autres il n’a personne. Voici les différents personnages que j’ai retenus, par ordre d’apparition :

    Navi Ocarina of Time Fille Geek Taya Majora's Mask Fille Geek Lion rouge Wind Waker Fille Geek Exelo Minish Cap Fille Geek Midona Twilight Princess Fille Geek  Ciela Phantom Hourglass Fille Geek Fay Skyward Sword Fille Geek Proxi Hyrule Warriors Fille Geek
    Navi Taya Lion Rouge Exelo Midona Ciela Fay Proxi
    Ocarina of Time Majora’s Mask The Wind Waker The Minish Cap Twilight Princess Phantom Hourglass Skyward Sword Hyrule Warriors

    Cela montre déjà que dans la plupart des titres jeux vidéo, Link entreprend ses pérégrinations tout seul (le pauvre !), et que son tout premier compagnon de route est Navi, dans Ocarina of Time.

    Attention, les personnes n’ayant jamais joué aux jeux cités dans ce tableaux seront confrontés à des spoilers dans les lignes suivantes !

    Une aide précieuse

    Quels que soient les personnages que l’on considère, ils sont tous là pour aider, conseiller et guider Link dans son aventure. Ils se manifestent souvent d’eux-même pour mettre le héros sur la voie lorsque celui-ci est confronté à une énigme, ou pour faire progresser le scénario en réagissant aux événements principaux.

    Ils prodiguent également des conseils aux joueurs, surtout en début de partie, pour leur inculquer quelques éléments de gameplay et les accompagner dans la prise en main du jeu. Il est aussi possible d’interagir à tout moment avec eux pour obtenir des informations supplémentaires sur des ennemis, ou réaliser une action précise comme se transformer, communiquer avec quelqu’un, etc.

    Mais s’ils sont pensés à la base pour agrémenter uniquement le gameplay du jeu, ils deviennent souvent des personnages forts à part entière. Par exemple, Midona, qui est un des compagnons les plus charismatiques de Link, n’a été pensée au départ que pour ajouter une touche esthétique, Miyamoto estimant que le joueur trouverait ennuyeux de ne suivre à l’écran qu’un loup. Ce n’est que plus tard que son intérêt scénaristique et sa personnalité ont été développés.

    Midona et Link Fille Geek

    Des compagnons tyranniques

    Si l’on regarde le caractère des personnages, le constat est sans appel : tous ont une personnalité bien trempée et certains ont même tendance à tyranniser le pauvre Link. Mais ces compagnons au caractère de cochon sont loin d’être les moins appréciés par les joueurs, car la relation qui se tisse entre le héros et son acolyte en ressort souvent encore plus forte.

    Preuve en est avec la fée Taya dans Majora’s Mask, obligée de s’allier à Link pour partir à la poursuite de son frère Tael resté avec Skull Kid. Et bien que responsable des déboires du héros et désagréable avec lui au début de l’histoire, elle finit par regretter ses actes et se lier d’amitié sincère.

    Taya et Link Fille Geek

    Ou encore Midona dans Twilight Princess, peut-être la complice la plus charismatique de tous, très manipulatrice et autoritaire envers Link mais qui finit par reconnaître la bravoure du héros et lui témoigner une amitié et un respect profonds. C’est probablement la relation la plus intense de toutes, qui parvient même à effacer le lien classique que l’on s’attend à voir se développer entre Link et Zelda.

    Exelo dans Minish Cap fait également partie de ces relations où le compagnon prend un ascendant sur le héros. Dans la peau d’un vieux sage un peu aigri qui infantilise Link, il finira par développer à son égard une sorte d’affection grand-père – petit-fils.Exelo et Link Fille Geek

    Des amours éphémères, des amitiés durables

    Les personnages accompagnant Link étant souvent féminins, la relation entre les deux est parfois teintée de sentiments amoureux sous-entendus. C’est généralement à sens unique, Link étant « destiné » à la Princesse Zelda, bien que la relation entre les deux Elus ne progresse jamais véritablement au-delà de l’amitié.

    Navi et Link Fille GeekNavi par exemple se manifeste très peu au cours du jeu (en dehors de ses interventions plutôt neutres et aujourd’hui très connues : Hey ! Listen ! ou encore Watch out !), mais on peut se demander si son affection pour le héros franchit la ligne très mince qui sépare l’amour de l’amitié. Lors d’une interview, Miyamoto lui-même avait reconnu que la fée était jalouse de Zelda, et qu’elle ressentait quelque chose pour Link.
    Lors du combat final, elle est dans un premier temps tenue à l’écart par une barrière magique négative créée par Ganondorf, mais lorsque Ganon s’éveille, elle fait la promesse à Link de l’aider coûte que coûte cette fois-ci, et qu’elle ne le laissera pas tomber. Cette fidélité est sans aucun doute l’expression d’un sentiment plus profond. A la fin d’Ocarina of Time, alors que Link repose l’Épée de légende dans son socle, on voit Navi s’envoler par la fenêtre du Temple du Temps. Mon interprétation personnelle de ce comportement est qu’elle n’a sans doute pas voulu assister à la réunion du héros et de la Princesse, qui est la dernière image du jeu.

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    Fay adopte également dans Skyward Sword un comportement de ce type à l’égard du héros. Lorsqu’elle apparaît à lui et l’accompagne dans ses quêtes, elle fait tout d’abord preuve d’une attitude très neutre, voire sans âme en s’exprimant en termes de probabilités et pourcentages. C’est pourtant en passant tout ce temps avec lui qu’elle finit par ressentir des émotions plus humaines, comme la joie d’être à ses côtés, et finalement de la gratitude pour ces moments précieux au moment de se quitter. Ces sentiments peuvent aussi bien être interprétés comme de l’amitié ou de l’amour, toujours est-il que leur séparation en est assez poignante.

    Fay and Link Fille Geek

    Lion rouge et Link Fille GeekDes interactions neutres

    Certains personnages ne développent avec Link que des relations beaucoup plus neutres que celles décrites juste avant.

    Par exemple, Lion Rouge dans The Wind Waker a une attitude bienveillante envers le jeune héros, et lui est d’une aide très précieuse tout au long de son périple, mais on ne verra pas de sentiments particuliers se développer. Il en va de même pour Ciela dans Phantom Hourglass. La petite fée amnésique restera simplement gentille avec Link, et l’attention sera plutôt focalisée sur son histoire personnelle qui aura une place à part entière dans le scénario du jeu. Enfin, Proxie est un peu à part puisque Hyrule Warriors est plus considéré comme un jeu « spin-off » et ne faisant pas réellement partie de la série principale The Legend of Zelda. D’ailleurs, la fée fera son apparition au début du jeu surtout pour servir de narrateur par la suite, mais ne se manifestera plus.

    Et l’award du meilleur compagnon est attribué à…

    Bon alors, après tout ce blabla, à votre avis, quel est le compagnon que je préfère ? Je suis sûre que certains d’entre vous en ont déjà une petite idée.

    Link and Navi Fille GeekPour moi il s’agit bien entendu de Navi. Ce choix est fortement influencé par l’affect que m’inspire Ocarina of Time, puisque c’est l’un de mes titres préférés. Historiquement parlant aussi, il doit y avoir du poids dans le fait que Navi est la première partenaire du héros à l’écran. C’est peut-être aussi l’ambiguïté et le mystère entretenus autour de leur relation qui attise mon intérêt pour ces personnages. De mon point de vue, il y a clairement une ellipse scénaristique à la fin du jeu, puisqu’on ne voit pas link reposer la Master Sword sur son piédestal, mais une lumière aveuglante s’estomper, alors que Link se recule du socle, où l’épée est de retour à sa place. J’imagine que les adieux entre Navi et Link se sont donc fait à ce moment qu’on ne nous montre pas, puisque tout de suite après elle le quitte, et lui part retrouver la Princesse dans son jardin. Tout est alors sujet à interprétation.

    Je serais ravie de lire ce que vous pensez de tout cela, car j’imagine que les points de vue doivent énormément diverger à ce sujet !

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    bouton Golden Blog awards Fille Geek

    La geekerie du Samedi – Les bougies Gametee

    Bonjour à tous !

    Aujourd’hui je déterre une rubrique un peu laissée à l’abandon sur ce blog, mais qui pourtant me plaisait beaucoup. Il s’agit, vous l’aurez compris, de la geekerie du samedi. J’avais l’habitude d’en faire une toutes les semaines, mais je ne suis pas sûre de tenir le rythme alors je ne vous promets rien, mais j’essaierai tout de même de vous en présenter une de temps en temps.

    Bougie Hyrulian Forest Fille GeekCette fois-ci, j’aimerais vous parler des bougies Gametee. C’est en tombant tout à fait par hasard dessus que j’ai eu envie de vous refaire une geekerie du samedi. J’ai trouvé le concept amusant et original.

    Les bougies Gametee sont des bougies parfumées faites main en Angleterre, à base de cire de soja 100% naturelle, avec une durée de vie de 20 heures. Leurs senteurs sont inspirées de l’univers des jeux vidéo : par exemple, la bougie N°1 « Hyrulian Forest » propose une fragrance boisée de menthe fraîche et d’eucalyptus.

    Après-tout, pourquoi l’antre du geek devrait sentir le renfermé ? Ce n’est pas parce qu’on aime passer (beaucoup) de temps sur des jeux vidéo qu’on ne doit pas se préoccuper de l’ambiance de son intérieur, n’est-ce pas ?

    La gamme est riche en produits et propose une série de senteurs aussi variées que les univers vidéo-ludiques dont elles s’inspirent. La bougie coûte 4.99£ (environ 6.75€), mais il faut prendre en compte les frais de port de ce site.

    Alors, que pensez-vous de ces produits ?

    Les Golden Blog Awards

    Bonjour à tous !

    Cela faisait un petit moment que j’attendais impatiemment l’ouverture de la nouvelle édition des Golden Blog Awards, et maintenant nous y voici !

    Les Golden Blog Awards, qu’est-ce que c’est ? C’est un événement annuel qui a pour but de promouvoir la blogosphère en mettant en avant différent sites de différentes catégories. Cette année j’ai décidé de proposer lafilleengeek.fr pour la catégorie « Jeux », en espérant qu’il recevra suffisamment de votes pour être shortlisté, c’est-à-dire retenu dans les 10 plus plébiscités de sa catégorie.

    Pour ce faire, j’ai besoin de vous ! Il n’y a que vous, qui me suivez et lisez, qui puissiez m’emmener jusque là. Et c’est très simple, pour cela il suffit simplement de voter pour mon blog sur le site des Golden Blog Awards, sans inscription requise ! Vous pouvez revenir voter tous les jours 😉 Je compte sur vous, et je vous remercie d’avance pour le soutien que vous m’apportez déjà !

    Le premier anniversaire du blog

    Bonjour à tous,

    Comme vous le savez probablement si vous me suivez sur Twitter, le blog LaFilleEnGeek.fr vient de souffler sa première bougie !

    Pour être honnête, j’aurais pu louper la date si je n’avais pas regardé quelques semaines auparavant par curiosité. En créant ce blog, je ne pensais pas durer aussi longtemps, et je suis contente d’être arrivée jusque là.

    Comme c’est grâce à vous, j’ai voulu vous remercier en organisant un concours sur mon compte Twitter, et récompenser au moins l’un de mes followers. C’était également l’occasion de marquer une autre petite victoire : la barre des 1000 followers de mon compte Twitter. Ça c’est quelque chose sur lequel j’aurais encore moins parié en me lançant dans cette aventure.

    Bref, je vous remercie tous vraiment du fond du cœur de me suivre, me lire, me soutenir, toussa toussa. Et bien entendu, je félicite le gagnant du fameux concours, et je suis contente que le sort ait désigné un copain de Twitter avec qui j’interagis depuis un moment déjà maintenant 😉 Bravo à Pikabsynthe !

    J’espère que cela continuera encore longtemps, et qui sait, peut-être que j’aurai l’occasion de vous réserver d’autres surprises comme ce concours.

    Merci à tous

    TFGA n°11 – Ces lieux où l’on irait bien en vacances

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    Bonjour à tous !

    Une fois n’est pas coutume, je vous propose mon TFGA en retard, ou presque. La date buttoir étant le 20 du mois, j’ai juste eu un peu chaud aux fesses mais je reste dans les temps 😛 Ce mois-ci, le thème était : Ces lieux où l’on irait bien en vacances. A l’heure où j’écris ces lignes, Paris se trouve sous une pluie battante et un ciel en cinquante nuances de gris, alors traiter d’un tel thème s’apparente quasiment à de la torture. Mais c’est un moyen de s’offrir un ultime voyage sous des cieux plus cléments, avant de retourner à la morosité de la routine (bouh, mon moral s’accorde visiblement à la météo).

    Kanto

    Pokemon starter 1ère génération Fille Geek Pour me remonter le moral, quoi de mieux que de faire un petit tour au Parc Safari pour capturer quelques Pokemon, puis faire le tour des villes mythiques de Bourg Palette, Jadielle, Azuria, Lavanville etc. ? Je vous le demande ! Avec rien d’autre en poche qu’un Pokedex et quelques Masterball pour les attraper tous, et une bicyclette pour pédaler comme une dératée sur les routes de campagne, je passerais à coup sûr des vacances sportives, mais follement amusantes.

    Crédit photo : JonathanJo60

    Tricot’Île

    Yoshi's Woolly World Fille Geek

    Si vous ne vous en souvenez pas, c’est le nom de l’île faite de laine dans Yoshi’s Woolly World (voir le test de Yoshi’s Woolly World ici). Moi qui suis fan de crochet (oui oui), ce serait le Paradis pour moi d’avoir sous la main autant de matière que je veux pour confectionner des bonnets, écharpes et autres couvertures à moindre frais. C’est possible que je m’y prenne comme l’abominable Kamek et que je transforme tous les Yoshi que je croise en pelote moi aussi 😛

    Kingdom Hearths

    Kingdom Hearts Fille Geek

    J’ai toujours été fan de l’univers de Disney, donc retrouver ses personnages emblématiques dans un jeu aussi réussi que Kindom Hearths m’a forcément parlé, et j’irais bien passer mes vacances sur quelques-unes des planètes que Sora visite au gré de ses pérégrinations.

    Azeroth et Outreterre

    World of Warcraft Mist of Pandaria Fille Geek

    Ah, World of Warcraft. S’il est un monde où j’aime me perdre de temps en temps, c’est bien celui de WoW ! J’ai beaucoup vu apparaître la Pandarie dans les tops de certains, et je ne peux qu’approuver ce choix, car les paysages japonisants très réussis de l’extension Mists of Pandaria sont sans aucun doute très attirants. Le Val de l’Éternel Printemps – avant que Garrosh ne vienne y foutre le bordel – par exemple, ou ce petit lopin de terre bien à soi que l’on peut aménager à proximité de Micolline dans la Vallée des Quatre Vents, que du bonheur ! Sans parler de la mystérieuse Forêt de Jade… A n’en pas douter la Pandarie regorge d’endroits agréables à visiter, mais ce n’est pas le seul contient d’Azeroth qui vaille le détour !
    J’ai souvent joué des Elfes de Sang dans World of Warcraft, et j’ai tout de suite aimé la capitale de ce peuple : Lune d’Argent. Je trouve dommage qu’elle soit désertée la plupart du temps, j’aurais aimé la voir un peu plus vivante. Mais les cartes des Bois des Chants Éternels, où cette ville se situe, et l’Île de Quel’ Danas juste au nord avec ses instances magnifiques, font partie de mes lieux de villégiature préférés en Azeroth.
    Enfin, je ne peux citer tous les autres lieux que j’aime dans World of Warcraft, mais je me contenterai de parler quand même des instances d’Ulduar que je trouve également très réussies.

    Hyrule

    Hyrule Zelda U Fille Geek

    Vous me connaissez hein ? Vous le saviez dès le début que j’allais vous mettre Hyrule en première position, avouez-le ! Les royaumes de la série The Legend of Zelda sont évidemment une destination paradisiaque à mes yeux. Dans la version Ocarina of Time, j’aime particulièrement l’ambiance douce et paisible du Village Cocorico, bercée par cette musique que j’aime particulièrement. Ou bien le désert aride de la Vallée Gerudo rythmée par ses notes épiques. Pour autant, les royaumes présentés dans les autres titres de la saga ne sont pas en reste et m’attirent tout autant. Celestebourg de Skyward Sword, Le village des Minish dans Minish Cap, Holodrum et ses saisons changeantes dans Oracle of Season… Bref, vous l’aurez compris, les univers de The Legend of Zelda m’enchantent tous autant qu’ils sont ! Et je RÊVE de poser enfin les pieds dans ne nouvel Hyrule dont n’a vu pour l’instant que quelques brins d’herbe, celui qui est en préparation et entouré de mystère et d’incertitude…

    Test Super Mario Maker

    Mario, le plus célèbre des plombiers moustachus, revient sur le devant de la scène cette année pour célébrer ses 30 ans. Et pour lui faire honneur, Nintendo a sorti un jeu pas comme les autres : Super Mario Maker. Ce titre vous permettra de vous glisser dans la peau d’un level designer le temps d’une partie, et de retourner dans vos baskets de joueur pour tester des niveaux plus originaux les uns que les autres mis en ligne par la communauté.

    Un éditeur de niveau intuitif

    Gamepad en main, Super Mario Maker propose un éditeur de niveau au début très simple, avec quelques éléments de base pour commencer. Fidèle à la façon de faire chez Nintendo, vos premiers pas sont guidés au travers d’un tutoriel vous apprenant à vous servir des quelques éléments livrés au départ.

    Le principe est très simple à saisir, il suffit de choisir un élément parmi ceux que vous avez à votre disposition dans la barre en haut de l’écran du gamepad pour le faire glisser dans la zone de création en-dessous et le placer où vous le souhaitez sur le niveau en construction. La colonne de gauche permet de sélectionner quel type de tableau vous souhaitez créer (plein air, aquatique, château…) et de quelle génération de Mario le niveau aura l’apparence (Super Mario Bros., Super Mario Bros. 3, Super Marioworld ou New Super Mario Bros. U), avec les différences de gameplay que cela peut impliquer (saisie d’objets, wall-jumps, etc.). La colonne de droite propose la possibilité d’enregistrer le niveau en cours, ou de supprimer les éléments grâce à la gomme. En bas, le très utile « annuler » et le dangereux « réinitialiser » viennent compléter les outils du parfait petit level designer.

    Super Mario Maker

    Si la création de niveaux simples est relativement aisé, les plus méticuleux recherchant des mécaniques un peu plus poussées seront cependant parfois un peu frustrés. Par exemple, une option permet d’afficher l’amplitude du mouvement de Mario sur le dernier déplacement effectué, ce qui vous permet d’anticiper les sauts par exemple, et de placer judicieusement les plateformes pour la suite. L’idée est excellente mais ne s’applique pas aux autres objets comme les carapaces rouges et autres éléments que l’on peut jeter, ce qui aurait pourtant facilité le travail de minutie que certains opèrent dans la mise en place de leurs mécanismes ingénieux.

    L’imagination pour seules limites

    Si les éléments de départ sont peu nombreux, ils sont néanmoins largement suffisants pour apprendre à se faire la main sur Super Mario Maker. Puis au fil des heures de création (que vous ne verrez pas passer), des packs viennent enrichir votre palette en ajoutant de nouveaux bloc, ennemis, objets, tableaux, mondes, etc. Au total, ce sont 4 générations de jeux différents, 6 tableaux possibles, et 60 éléments à utiliser pour construire ses stages, soit énormément de possibilités.

    La difficulté de Super Mario Maker ne sera donc pas de réussir à s’en servir, vous l’aurez compris, mais plutôt de parvenir à créer de bons niveaux. Il faudra faire preuve d’originalité pour se démarquer, savoir mesurer la difficulté et la faisabilité de ses stages, intégrer une progression intéressante avec une difficulté stable ou bien croissante, bref, se mettre dans la peau du joueur avant tout. Pas si facile finalement, de créer un bon stage ! Mais on aura beau être confronté au syndrome de la « page blanche », buter sur une mécanique difficile à mettre en place, avoir tendance à recréer ce que l’on connait déjà, Super Mario Maker reste tout de même très amusant et offre un moyen inédit et excellent d’exprimer son talent, son imagination, sa créativité.

    En outre, le livret explicatif fourni avec le jeu est une excellente source d’inspiration, avec de nombreuses vidéos tutorielles qui permettent de mieux saisir les différentes fonctionnalités et les synergies possibles entre les éléments. Ce livret constitue par ailleurs un très bel objet qu’on prendrait presque pour un collector.

    Publier pour la communauté

    Une fois le stage terminé et sauvegardé, il est temps de le publier pour permettre à la communauté d’en profiter. Chaque stage publié est identifiable par un ID que vous pouvez partager pour inviter vos connaissances à l’essayer. Sinon, votre niveau peut également faire partie de ceux qui sont aléatoirement proposés dans les défis des 100 Mario. Les joueurs peuvent vous laisser une étoile et/ou un commentaire pour vous dire ce qu’ils pensent de votre création. Cette fonctionnalité, assez sympathique sur le principe, est malheureusement entachée par un Miiverse toujours aussi lent et peu ergonomique, mais ce problème de longue date n’est pas entièrement inhérent au jeu en lui même. Et l’impossibilité de streamer ou partager facilement une image ou vidéo se fait cruellement sentir (presque autant que pour Splatoon).

    On pourra également déplorer le fait qu’un niveau mis en ligne ne peut être modifié, à moins d’être supprimé puis re-publié, mais il perdra les étoiles et commentaires acquis (même si le nombre d’étoiles totales cumulées sur le profil de change pas). Il aurait pu être intéressant de pouvoir choisir de mettre son niveau en ligne pour ses amis seulement, afin de le faire tester à certaines personnes avant de le mettre définitivement à disposition de la communauté.

    Créer c’est bien, mais jouer aussi !

    Super Mario Maker n’oublie pas d’offrir aux joueurs la fonction essentielle qu’ils recherchent avant tout dans un jeu vidéo : jouer ! Sur le menu principal, vous avez la possibilité de créer, ou de jouer. Cette dernière option vous propose soit le défi des 10 Mario, où il faudra réussir 8 stages concoctés par Nintendo avec seulement 10 vies, soit d’explorer les stages du monde.

    C’est dans les stages du monde que vous retrouverez les créations de la communauté, avec la possibilité de faire des recherches par stages (les plus populaires ou les nouveautés) ou bien par créateurs (les 50 mieux notés ou ceux que vous suivez). Si vous souhaitez faire un stage en particulier, vous pourrez rechercher son ID, mais il n’est malheureusement pas possible de faire la recherche d’un créateur spécifiquement. Cependant, si vous êtes sur la fiche d’un stage qu’il a créé, vous pouvez toucher l’icone de son portrait et le mettre dans les créateurs à suivre pour ne rien louper de ses chefs-d’œuvre !

    Super Mario Maker Fille Geek

    Le menu des stages du monde propose également le défi des 100 Mario, basé sur le même principe que le défi des 10 Mario, c’est à dire que vous avez 100 vies pour terminer 8 ou 16 stages (selon la difficulté choisie). La grande différence est que les niveaux qui vous seront proposés dans ce défi seront ceux de la communauté. Et si vous trouviez (à raison) que 10 vies pour finir 8 niveaux de Mario c’était largement suffisant, 100 vies pour les stages de la communauté c’est déjà plus… réaliste. Sans aller par quatre chemin vous verrez de tout ! Des niveaux géniaux, mauvais, infaisables, bien pensés, trop difficiles, parfaitement calibrés, finis à la va-vite… Même s’il est possible de passer un niveau qui ne vous plaît pas, vous ne serez pas au bout de vos peines ! On regrettera alors de ne pas pouvoir donner une petite notation négative à certains stages, ne serait-ce que pour éviter de les retrouver dans les défis Mario.

    Super Mario Maker Fille Geek

    Les amiibo ne sont pas indispensables

    Bien sûr, tous les amiibo sont compatibles avec Super Mario Maker et ont tous la même fonctionnalité : ils permettent de débloquer des costumes spécifiques pour Mario, ce qui lui permet de changer d’apparence. Cependant, si vous ne possédez pas les amiibo correspondants, vous pouvez également vous lancer dans le défis 100 Mario. Il y a en tout 100 costumes différents à obtenir, dont certains représentant des ennemis de l’univers de Super Mario Bros., donc les possesseurs d’amiibo devront également passer par ce défi pour tous les avoir.

    Seul l’amiibo Mario 8-bit offre une fonctionnalité différente : en touchant le gamepad avec cette figurine vous obtenez un champignon géant, qui transformera Mario en… Mario géant (oui, pas plus compliqué que ça) qui pourra détruire tous les blocs qu’ils croise sur son passage tel un Godzilla dans une ville peuplée de gratte-ciels.

    Verdict

    Super Mario Maker est donc plus qu’un simple éditeur de niveau, avec une prise en main intuitive et une ergonomie efficace : il est également l’occasion rêvée de rejouer aux principales générations de Mario qui ont marqué l’histoire du plombier Nintendo, le tout avec de très beaux graphismes HD aussi agréables sur grand écran que sur le gamepad. Les possibilités de créations sont nombreuses, parfois même trop, ce qui donne des stages de qualité très inégale en ligne. Super Mario Maker fait toutefois partie des indispensables 2015 de la Wii U avec une durée de vie quasi infinie et un divertissement garanti.

    Amiibo Mario 30ème anniversaire

    Bonjour tout le monde !

    Cela faisait longtemps que je ne vous avais pas fait d’article de présentation d’amiibo, et ma toute dernière acquisition est l’occasion rêvée pour y revenir. J’ai plein d’autres figurines en réserve qui n’attendent que de vous être présentées, mais ça ce sera pour plus tard 😉 Aujourd’hui, on se concentre sur l’amiibo Mario 30ème anniversaire, dans ses couleurs classiques.


    Mario 30th
    Identité

    Nom: Mario
    Série: Super Mario Bros. 30th Anniversary
    Numéro: /
    Date de sortie en France: 11 Septembre 2015

    Aperçu visuel

    Comme vous pouvez vous en apercevoir, cet amiibo est un hommage à Mario dans ses débuts pixelisés, pour fêter ses 30 ans cette année. Il est encore tout jeune notre plombier moustachu préféré ! Cet amiibo peut être trouvé seul, ou en pack avec le jeu Super Mario Maker. Il existe en deux versions colorées : les « couleurs classiques », que je vous présente ici, ou les « couleurs modernes », c’est-à-dire avec la salopette bleue et le tee-shirt rouge.

    Cette figurine a un aspect un peu « légo » puisqu’elle est composée de briques empilées en 3D pour donner justement l’illusion que le personnage est composé de pixels. Le rendu est assez original et plutôt bien fait, par contre il en résulte une statuette aux dimensions assez conséquentes. En effet cet amiibo est légèrement plus imposant que les autres, mais la différence est très légère.

    Intérêt

    Les amiibo Mario sont légion : pas moins de 7 à l’heure actuelle ! Cette version pixelisée a le mérite d’être originale mais reste imposante, comme je l’ai dit. Elle est fidèle dans ses couleurs au personnage des débuts mais la version rouge et bleue est plus emblématique et représentative de Mario.

    Pour ce qui est de sa fonctionnalité, elle est bien pauvre malheureusement. Lié principalement au jeu Super Mario Maker, cet amiibo apporte à peine mieux que les autres figurines. Un champignon géant pour avoir un mega personnage, les champignons de transformations des autres amiibo sont plus drôles et variés. Concernant les nombreux autres jeux avec lesquels il peut être utilisé, l’amiibo Mario 30th anniversary n’apporte rien de plus que les autres figurines. Il est largement remplaçable par les autres amiibo Mario existant déjà.